23 Juillet 2014
J'attendais les grosses chaleurs avec la crainte qu'elles n'arrivent jamais. Après un printemps plus que prometteur - 20° et un t-shirt à manches courtes le 8 mars - j'avais innocemment espéré que le ciel bleu décoloré par les rayons d'un astre ardent perdurerait... Quelle naïveté!
Bref. Aujourd'hui, 23 juillet, et depuis plusieurs jours, le matin est là, le soleil aussiii!* Et la touffeur également. Une chaleur humide qui vous assaille dès le lever et vous donne l'impression d'être suant et collant même au sortir de la douche. Bruxelles, en ce moment, c'est la nouvelle destination exotique. J'ai donc (r)ouvert le précieux colis envoyé par le Bazar Bio, champion de la cosmétique bio. J'avais fait une première tentative fin avril, mais alors le temps s'est dégradé et comme je voulais VRAIMENT en tester le contenu dans des conditions extrêmes, j'avais rangé ledit colis.
Quel rapport entre les conditions atmosphériques et ce colis? Eh bien, après le sérum anti-rougeurs Evercalm de REN, le Bazar Bio m'a envoyé en test le déodorant bio en pot SoapWalla**. Pardon?? En pot?? J'ai été, moi aussi, quelque peu étonnée par le concept et, avouons-le, frappée de scepticisme sévère. Et pourtant, le déodorant crème en pot de SoapWalla, c'est tout sauf du pipeau. Considéré à ce jour comme le plus efficace des déodorants bio, ce déodorant 100% naturel utilise des poudres végétales, de l'argile et des huiles de lavande, de menthe poivrée et d'arbre à thé pour absorber l'humidité, inhiber les bactéries, et assurer une efficacité longue durée.
Il y a belle lurette que j'ai remplacé tous les déos en spray par des rollers - même si la sensation crémeuse et humide qu'ils laissent sur la peau n'est pas vraiment à mon goût. Certains ont reçu mon approbation, d'autres ont rapidement rejoint le "coffret beauté" de la Poule tant ils étaient inutiles - après avoir été soumis à un examen scrupuleux de leurs ingrédients - voire la poubelle en cas de test négatif à l'examen sus-cité.
A l'ouverture du pot, c'est la discrète odeur mentholée, très fraîche, très agréable de la pâte - car pour moi, il s'agit plus d'une pâte que d'une crème - qui me met en confiance. Je passe le bout du doigt sur sa surface lisse et l'étale sous les bras. Sa texture légère s'étend facilement et pénètre dans la peau rapidement. Reste à la surface, une fine pellicule protectrice sèche, comme légèrement poudrée, et transparente. Le test peut commencer.
Aujourd'hui, je suis en vadrouille tout l'après-midi. Sous une chaleur accablante, plusieurs colis, je marche jusqu'au centre-ville. Repérage dans divers magasins pour élire le successeur à mon antique PC - presque 10 ans, quand-même - passage à la poste pour dépôt de paquets - 50 minutes à poireauter dans un local chauffé à bloc - détour par la librairie pour Kiala, rendez-vous à Forest - motivée, je m'y rends également à pieds - au retour, je saute dans un tram, attends mon dernier rendez-vous une bonne quinzaine de minutes en plein cagnard et rejoint finalement, fourbue mais heureuse, mes pénates peu avant 19h. Il fait toujours aussi chaud. Mon pantalon me colle à la peau, la sueur dégoûline le long de mon échine et mes aisselles... sont propres et sèches. Et cette agréable odeur mentholée s'en dégage toujours. Promesse tenue donc, pour ce déo crème en pot SoapWalla qui a passé le test des conditions extrêmes haut la main! A ranger au rayon des indispensables! le sac chargé de
*Friends - saison 4 - épisode 19
**C’est dans sa cuisine a Brooklin que Rachel Winard, la chef créatrice de la marque Soapwalla, concocte ses soins bio pour le visage et le corps. Rachel utilise des ingredients de hauté qualité en utilisant exclusivement des ingredients bio, végétariens, de qualité alimentaire tels que des huiles naturelles, des argiles, des poudres, des extraits de plantes et des huiles essentielles. Tout est fait à la main et en petites quantités. C’est en cherchant une solution pour sa peau ultra-sensible due à un lupus que cette violoniste et yogi a crée sa marque de soins.
Voir le profil de Alix sur le portail Overblog
Commenter cet article